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« Ce prêt représente une bonne expérience dans un grand club » : Andréas Hountondji ne veut pas jouer sa carte personnelle au Standard

Même si le Standard n’a plus rien à jouer, Andréas Hountondji n’entend pas jouer sa carte personnelle. L’attaquant béninois, prêté par Burnley, veut engranger un maximum de temps de jeu avant de, peut-être, découvrir la Premier League.

C’est en Europe Play-Offs qu’Andréas Hountondji a le plus joué sous les couleurs du Standard. L’attaquant béninois, prêté par Burnley, affiche d’ailleurs une bonne forme, avec trois buts et une passe décisive depuis le début de ceux-ci. Des statistiques toutefois insuffisantes pour permettre au Matricule 16 de remporter le moindre match.

« J’ai la chance d’être dans la période où je joue le plus, c’est un point positif individuellement. Mais je ne compte pas jouer ma carte personnelle, mon objectif premier est d’engranger un maximum de minutes de jeu », a déclaré le joueur de 22 ans en conférence de presse, ce vendredi.

Le Standard… avant la Premier League pour Andréas Hountondji ?

Hountondji n’aura pas eu la chance de connaître un Standard en bonne forme. L’équipe n’ayant plus rien à jouer sur le plan collectif, il espère enchaîner les titularisations jusqu’à la fin de la saison, ce qui devrait être le cas puisque Andi Zeqiri ne devrait plus revenir, avant de peut-être découvrir la Premier League avec les Clarets.

« Je ferai le point après les trois derniers matchs, mais ce prêt représente une bonne expérience dans un grand club. Je n’ai pas connu beaucoup de clubs avec un tel aspect médiatique, autant de ferveur. C’est un prêt de développement, tout joueur prêté veut revenir dans son club pour performer, mais je ne me suis pas encore posé pour y réfléchir. »

On doit prendre des risques, assumer nos responsabilités ; il faut de la folie pour déstabiliser une équipe. »

D’ici là, Andréas Hountondji veut, comme ses coéquipiers, laver l’affront de ces Play-Offs complètement manqués. Malgré un noyau très réduit, le Standard espère encore gagner un match d’ici à la fin de la saison, et pourquoi pas à Malines, ce samedi ?

« Le football est une bataille, mais aussi un jeu. Dans ces derniers matchs, on doit prendre des risques, prendre nos responsabilités et ne pas avoir peur de rater. Il faut créer de la folie pour déstabiliser une équipe, c’est impossible autrement », a-t-il conclu.

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