Paul-José Mpoku évolue désormais à Arad, en Roumanie. Avec le recul, il reconnaît qu’il n’avait pas la bonne mentalité à ses débuts professionnels.
Avant de se révéler au Standard au début de la dernière décennie, Paul-José Mpoku a passé trois ans à Tottenham, qui l’avait repéré en principauté. Le changement a forcément été brutal pour un garçon qui n’avait que 16 ans à son départ en Angleterre.
« J’avais tout ce qu’un adolescent pouvait rêver : un contrat avec Tottenham, un avenir prometteur, une carrière qui décollait. Derrière cette image de réussite, je dois avouer quelque chose : j’étais devenu arrogant. Le succès précoce avait trop nourri mon ego », avoue-t-il sur Linkedin.
C’est une rencontre qui a complètement changé sa manière de voir la vie : « Arrivé à Tottenham, j’ai rencontré celui qui allait changer ma trajectoire, mon coéquipier John Bostock ».
Quelque chose de très profond s’est créé entre les deux hommes : « J’ai grandi dans une tradition chrétienne sans vraiment la vivre. Et un jour, j’ai vu John prier avant le repas. Ce geste a fait écho en moi. Il montrait à quel point sa foi était authentique. Quelque temps après, mon cousin, celui qui m’avait pris sous son aile en Angleterre, est décédé ».
Deux ans après le retour d’Mpoku au Standard, Bostock l’a suivi en Belgique, signant à Louvain et puis à l’Antwerp. Le milieu de terrain londonien avait un talent fou. Cela l’a emmené à Lens, Toulouse et Nottingham Forest. A 33 ans, il évolue aujourd’hui en cinquième division anglaise.
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