Nouvelle pièce importante de la défense du Standard, Josué Homawoo n’est pas arrivé dans un noyau totalement inconnu, puisqu’il connaissait déjà trois joueurs ainsi que Mircea Rednic, qu’il avait affronté la saison dernière en Roumanie.
Arrivé le 1er juillet en provenance du FC Dinamo Bucarest, où il venait de terminer son contrat, Josué Homawoo a été officiellement présenté à la presse ce jeudi. Le défenseur central togolais est revenu sur sa signature en bord de Meuse, avant d’évoquer ses premiers pas avec le groupe.
« Quand je suis arrivé, je me suis rapidement senti bien accueilli. Tout s’est bien passé aux entraînements. Le groupe est très homogène, tout le monde s’entend plus ou moins bien avec tout le monde. Je ne suis pas encore à 100 %, car je suis arrivé en cours de préparation, mais les gens qui ne me connaissaient pas ont déjà pu voir certaines de mes qualités, et ça ne doit faire que s’améliorer », nous assure-t-il.
Les gens qui ne me connaissaient pas ont déjà pu voir certaines de mes qualités »
L’international togolais n’arrivait pas dans une équipe composée entièrement de visages inconnus. Il avait déjà rencontré, comme adversaire, Mircea Rednic en Roumanie, mais il a aussi joué avec deux joueurs du noyau actuel.
« Je connaissais déjà Marco Ilaimaharitra et Thomas Henry, donc je me suis rapproché d’eux. On a aussi des amis en commun avec Rafiki Saïd. J’ai joué avec Stipe Perica la saison dernière, mais je ne savais pas encore que j’allais venir ici quand je lui parlais », nous précise-t-il, en mentionnant qu’il connaît aussi un certain Kevin Denkey de l’équipe nationale, mais que c’est plutôt auprès d’autres anciens joueurs du championnat qu’il s’est renseigné.
Des affinités déjà présentes avec Thomas Henry, Marco Ilaimaharitra et Rafiki Saïd
Passé par Nantes avant de rejoindre Tubize, Louvain, puis de partir vers l’Italie, Thomas Henry est un joueur qui l’a déjà impressionné et qu’il se réjouit de retrouver. Même si, il l’assure, défendre contre lui à l’entraînement n’est pas plus facile qu’il y a dix ans, loin de là.
« Je ne m’attendais pas à le revoir ici après qu’il soit passé d’équipe en équipe en Italie. Je suis content, car je le connais. C’est un bon gars et je me suis toujours bien entendu avec lui. Quand je l’ai connu, il était déjà attaquant, mais il jouait à tous les postes devant. Aujourd’hui, il est plus mature dans son jeu. Il savait déjà jouer avec son corps il y a dix ans, mais c’est encore mieux maintenant », a-t-il conclu.