Ricardo Sá Pinto est aujourd’hui actif à Esteghlal, dans le championnat iranien. Il n’entretient plus de rapports très étroits avec le Standard.
Le temps file : depuis son départ du Standard, Ricardo Sá Pinto en est déjà à son neuvième club. L’entraîneur portugais ne s’attarde jamais plus d’un an là où il pose ses valises. Au Standard, il avait pourtant mené l’équipe à des Playoffs de feu et à la victoire en Coupe de Belgique.
Il avait très mal vécu que le club fasse appel à Michel Preud’Homme pour le remplaçer après être passé proche du doublé. Une décision qui semblait déjà prise avant même l’issue de la saison, quels que soient les mérites de Sá Pinto.
À l’époque, le directeur sportif était un certain Olivier Renard : « Je m’attendais à ce qu’il se montre plus fort (pour le gardrer en place NDLR). Si tu restes, tu acceptes aussi la décision du président. Mais avec le temps, nous avons clarifié cela », explique-t-il à SudInfo.
Les deux hommes sont aujourd’hui toujours en contact, Sá Pinto demandant de temps à autre au directeur sportif d’Anderlecht des informations sur certains joueurs de Pro League. Cet été, Moussa Djenepo (qu’il a bien connu au Standard) l’a par exemple rejoint en Iran.
Mais à part cela, il n’a pratiquement plus aucun contact le reliant au Standard. « Je parle seulement avec Stéphane Hodeige, le chauffeur de bus. Il est un symbole, une véritable légende. Un ami, un frère ». De son propre aveu, cela en dit long sur la façon dont il s’est parfois senti isolé au sein de la structure du club.
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