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Pas la moindre expérience dans le management sportif : le voile se lève autour de l’une des principales pistes de reprise du Standard

Le Standard est toujours dans l’incertitude quant à son rachat. Les deux pistes principales sont toutefois de plus en plus nettes.

En janvier, le Standard a franchi une étape dans son rachat en clôturant le dépôt des offres liantes pour la reprise du club. Deux offres semblent obtenir les faveurs de la banque Moelis&Co et A-CAP, le bailleur de fonds de 777 Partners.

La tentation émiratie

La première mène à Lucien D’Onofrio, qui a coordonné un consortium d’investisseurs européens malgré son apparente volonté initiale de ne pas revenir à la tête du club vu le contexte économique. L’autre piste, menant à un groupe émirati, était plus nébuleuse.

Elle s’éclaircit désormais : selon Sacha Tavolieri, le nom derrière ce projet est celui de Mohamed Alabbar. Il s’agit d’un homme d’affaires de 68 ans né à Dubaï. Son offre est estimée entre huit et dix millions d’euros, en plus de l’épurement de la dette envers A-CAP.

Mohamed Alabbar est à la tête d’Emmar Group, spécialisé dans l’immobilier. Il n’a par contre mené aucun projet dans le milieu du sport. Il pourrait donc s’agir, si son offre prend le dessus, d’une grande première.

À ce stade, rien n’est évidemment acté. Il faudra ainsi encore se monter patient : la fumée (rouge et) blanche ne devrait survenir qu’en avril, dans le meilleur des cas.

One thought on “Pas la moindre expérience dans le management sportif : le voile se lève autour de l’une des principales pistes de reprise du Standard

  1. Il ne faut pas faire la fine bouche au niveau expérience quand la dette globale du club est estimée à 69 millions, de laquelle A-Cap aurait converti une créance de 25 millions d’euros en capital. Si je compte bien le repreneur Emirien qui offre 8 à 10 millions a encore 44 millions d’ardoises à éponger

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