C’était déjà une rencontre très attendue, ce vendredi soir en Pro League, entre le Standard et l’Union. Elle a, malheureusement, accouché d’une souris. Partage final entre les Rouches et les Unionistes, et c’est plus que logique.
Le Standard recevait l’Union Saint-Gilloise, ce vendredi soir, dans le cadre de la huitième journée de Pro League. En dernière minute, Ivan Leko est privé de David Bates et Nathan Ngoy, blessés. Lucas Noubi et Ibe Hautekiet prennent place en défense centrale, aux côtés de Bosko Sutalo.
Rien à signaler en première période
Le début de partie se déroule sur un rythme particulièrement calme. Aucune des deux équipes ne semble vouloir se découvrir. Du coup, aucune équipe ne met son adversaire en danger.
La possession est unioniste. Le vice-champion contrôle l’intensité de la rencontre, Fusseini fait mal dans ses débordements et ses provocations, en vain. De l’autre côté, à la demi-heure, Kuavita et Zeqiri trouvent Moris. Sans suite.
En fin de première période, le gardien du Standard est l’auteur de l’arrêt qui permet aux Rouches de garder le cap. Le jeune portier s’interpose devant Fusseini, et permet au Matricule 16 de garder un score de parité au repos. C’est tout, dans cette première période où il ne se sera pas passé grand-chose. Léger avantage à l’Union, mais le score est logiquement de 0-0 au repos.
Un partage, seul résultat logique de ce Standard – Union
Le début de la seconde période est semblable. L’Union met le pied sur le ballon, mais ne montre rien. Dans l’autre sens, Soufiane Benjdida est accroché par Christian Burgess, dernier homme, à vingt mètres du but. Jan Boterberg ne bronche pas, Sclessin gronde, et pas qu’un petit peu.
Les deux équipes essayent de faire la différence, et de créer le danger dans le dernier tiers. L’Union garde l’avantage « aux points » sans le concrétiser au marquoir. La frappe de Fusseini est contrée, celle de Bulat aussi, et la première reprise de la tête d’Eckert Ayensa sous le maillot du Standard atterrit dans les bras d’Anthony Moris.
Dix minutes avant le terme, Matthieu Epolo se fait une belle frayeur. Le gardien liégeois met trop de temps à dégager, Fusseini contre le cuir, qui passe juste à côté du poteau. Sclessin a retenu son souffle, et a marqué le coup pendant les quelques minutes suivant l’action. Pas longtemps, cependant, puisque le célèbre « Aux Armes » résonnait à la 83e minute, comme une ultime poussée vers la victoire.
Une poussée qui n’aura pas porté ses fruits. Le Standard et l’Union se quittent sur un partage logique, et ce sont les Unionistes qui ont eu les (rares) meilleures occasions pour prendre les trois points. Un partage qui n’aura pas emballé le public, ni le spectateur neutre, ce vendredi soir à Sclessin.
Nul logique. Tant que l’on cherchera systématiquement la verticalité en reconversion, on a peu de chance d’inscrire des buts. Dommage. Sans doute un manque de confiance. Bravo à l’arbitre et au VAR. Ils avaient sans doute de la poussière dans les yeux sur la faute de Burgess.
il y a de quoi se poser des questions….que l’arbitre ne la voit pas, d’accord. Mais que le VAR ne réagisse pas….ça sent la caisse noire, les montres, les voyages, les péripatéticiennes…
A nouveau les femmes, jaime……sans les femmes, on aurait 15 titres à notre compteur…..