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Une aide… du monde politique francophone pour aider le Standard à sortir de la galère ?

Plusieurs entités essayent d’aider le Standard, mais rebroussent chemin devant l’immensité de la tâche à accomplir. Même le monde politique francophone s’activerait de son côté…

Le Standard est toujours à la recherche d’un repreneur. Si Luciano d’Onofrio essaye de trouver des investisseurs capables d’injecter suffisamment d’argent dans le club, ceux-ci rebroussent généralement chemin devant l’immensité de la tâche à accomplir.

Pendant ce temps, tout le monde quitte le navire, ou est remercié. Trois membres du staff médical l’ont été, José Jeunechamps et Bernd Thijs seront probablement partis dans les prochains jours et la majorité des joueurs ayant terminé le dernier exercice ne sera plus là, à la reprise.

Personne n’en a réellement les moyens, mais beaucoup d’entités essayent, à leur échelle, d’aider ou de s’activer pour la survie du Matricule 16. Dans le monde politique francophone, aussi, on chercherait des solutions.

Le monde politique francophone peut-il sauver le Standard ?

C’est le journaliste belge Sacha Tavolieri qui l’annonce, ce samedi. Selon ses dires, en off, la politique « sort ses réseaux et outils d’investissement pour aider le Standard de Liège à survivre avec l’argument que le socle social et culturel que représente le club liégeois ne doit pas être laissé à l’abandon. »

Le plus gênant pour les investisseurs, toujours selon la même source, ce ne sont pas les dettes à rembourser, mais bien la quantité d’argent à réinjecter en plus du faible capital déjà présent dans le club afin de retrouver une structure stable et compétitive. On ne sait pas encore quel sera l’avenir du Standard, mais le monde politique n’a visiblement pas prévu d’abandonner le Matricule 16.

3 thoughts on “Une aide… du monde politique francophone pour aider le Standard à sortir de la galère ?

  1. Comme déjà dit à deux ou trois reprises, LA SOLUTION serait pour moi de séparer financièrement l’Immobilière et le sportif. Le rachat de l’immobilier ( 50 millions ), effacerait nos dettes, et 50 millions investi dans le sportif ( effectif joueurs et académie ), à renflouer nos caisses. Deux investisseurs séparés me paraît donc essentiel, quitte à devoir payer une location annuelle, bien entendu, aux détenteurs de l’Immobilière.

  2. C’est tout à fait exact Serge et qui plus est le nouveau tandem MR-Engagés ne va certainement pas axer leurs priorités sur le cas de sclessin !!!
    Pour le rachat des deux entités (j’essaie de répondre à Gerouche), tout investisseur digne de ce nom (ce n’a pas été le cas depuis trop longtemps au standard) exigera de racheter les deux entités, évidemment.
    La séparation des deux entités n’étaient que dans la tête de venanzi qui pensait peut-être (déjà) à garder l’immobilier en cas de faillite !!!
    Découragé par les « conseillers » dont il s’était entouré…. il commençait enfin à écouter des vrais gestionnaires d’entreprise. Mais comme dans la fable de jean de la fontaine ; il était un peu tard….

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